Nouveau programme des SVT, classe de 2nde, LGN 2011

 

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MŽthodologie

Ressources

ActivitŽs possibles

ActivitŽs numŽriques (mise en Ļuvre B2i)  Approche EDD

Items B2i


Thme 1 Š La Terre dans lÕUnivers, la vie et lՎvolution du vivant : une plante habitŽe

LÕhistoire de la Terre sÕinscrit dans celle de lÕUnivers. Le dŽveloppement de la vie sur Terre est liŽ ˆ des particularitŽs de la plante. La vie Žmerge de la nature inerte. Les tres vivants possdent une organisation et un  fonctionnement propres. Leurs formes montrent une diversitŽ immense, variable dans le temps, au grŽ de lՎvolution.

 

 

Les conditions de la vie : une particularitŽ de la Terre ?

La Terre est une plante rocheuse du systme solaire.

Les conditions physico-chimiques qui y rgnent permettent lÕexistence dÕeau liquide et dÕune  atmosphre compatible avec la vie.

Ces particularitŽs sont liŽes ˆ la taille de la Terre et ˆ sa  position dans le systme solaire.  Ces conditions peuvent exister sur dÕautres plantes qui  possderaient des caractŽristiques voisines sans pour  autant que la prŽsence de vie y soit certaine

ExpŽrimenter, modŽliser, recenser, extraire et organiser des informations pour :

- comparer les diffŽrents objets du systme solaire et dŽgager les singularitŽs de la Terre ;

- relier les particularitŽs de la plante Terre ˆ sa masse et sa distance au Soleil et dŽfinir une zone dÕhabitabilitŽ autour des Žtoiles

RŽalisation dÕun graphique ˆ trois variables (distance au Soleil, densitŽ, taille) avec un tableur pour mettre en Žvidence les deux groupes de plantes et situer la Terre parmi les plantes telluriques.

Recherches documentaires internet par thme (un atelier par thme) ; constitution d'un rapport numŽrique ; prŽsentation ˆ la classe ; dŽbat-bilan.

Utilisation du logiciel Vue / plante 3D pour dŽcouvrir les principaux objets du systme solaire et les classer selon la mŽthode d'embo”tement.

 

Relation entre Žnergie reue et distance de la source, par une mesure EXAO avec le luxmtre. Relations entre Žnergie reue et distance de la source, puissance lumineuse Žmise, nature du rayonnement.

Construire avec un tableur la courbe des tempŽratures  de surface rŽelles en fonction de la distance au soleil et confronter les rŽsultats ˆ la courbe thŽorique (voir prŽcŽdemment). Mise en Žvidence de lÕinfluence de lÕatmosphre et de lÕeffet de serre.

Utiliser un tableur pour calculer la gravitŽ de diffŽrentes plantes et confronter les rŽsultats ˆ la  pression atmosphŽrique rŽelle.

ModŽlisation de l'effet de serre : expŽrience (EXAO possible)

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

L.4.2 : Je sais utiliser les fonctions avancŽes des outils de recherche sur internet.

L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

L.3.1 : Je sais crŽer et modifier un document numŽrique composite transportable et publiable.

L.3.3 : Je sais utiliser des outils permettant de travailler ˆ plusieurs sur un mme document (outil de suivi de modificationsÉ).


L 3.7 : Je sais publier un document numŽrique sur un espace appropriŽ.

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

 

 

La nature du vivant

Les tres vivants sont constituŽs dՎlŽments chimiques disponibles sur le globe terrestre. Leurs proportions sont diffŽrentes dans le monde inerte et dans le monde vivant. Ces ŽlŽments chimiques se rŽpartissent dans les diverses molŽcules constitutives des tres vivants.

Les tres vivants se caractŽrisent par leur matire carbonŽe et leur richesse en eau. LÕunitŽ chimique des tres vivants est un indice de leur parentŽ.

 

De nombreuses transformations chimiques se dŽroulent ˆ lÕintŽrieur de la cellule : elles constituent le mŽtabolisme. Il est contr™lŽ par les conditions du milieu et par le patrimoine gŽnŽtique.

 

La cellule est un espace limitŽ par une membrane qui Žchange de la matire et de lՎnergie avec son environnement. Cette unitŽ structurale et fonctionnelle commune ˆ tous les tres vivants est un indice de leur parentŽ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La transgŽnse montre que lÕinformation gŽnŽtique est contenue dans la molŽcule dÕADN et quÕelle y est inscrite dans un langage universel. La variation gŽnŽtique repose sur la variabilitŽ de la molŽcule dÕADN (mutation).

LÕuniversalitŽ du r™le de lÕADN est un indice de la parentŽ des tres vivants.

 

ExpŽrimenter, modŽliser, recenser, extraire et organiser des informations pour comprendre la parentŽ chimique entre le vivant et le non vivant.

Mettre en Ļuvre un processus (analyse chimique et/ou logiciel de visualisation molŽculaire et/ou pratique documentaire) pour repŽrer quelques caractŽristiques des molŽcules du vivant.

 

 

 

Mettre en Ļuvre un raisonnement expŽrimental pour : - montrer lÕeffet de mutations sur le mŽtabolisme cellulaire et comprendre le r™le du gŽnome ; - repŽrer lÕinfluence de lÕenvironnement sur le fonctionnement dÕune cellule ;

Comprendre les mŽcanismes dÕune dŽmonstration expŽrimentale : comparaisons, tests, tŽmoins.

RŽaliser une prŽparation microscopique et/ou utiliser des logiciels et/ou organiser et recenser des informations pour distinguer les Žchelles : atome, molŽcule, cellule, organe, organisme et les ordres de grandeur associŽs.

Comparer des ultrastructures cellulaires pour illustrer la parentŽ entre les tres vivants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Manipuler, modŽliser, recenser, extraire et organiser des informations pour mettre en Žvidence lÕuniversalitŽ de lÕADN.

Mettre en Ļuvre une mŽthode (dŽmarche historique et/ou utilisation de logiciel et/ou pratique documentaire) permettant dÕapprocher la structure de lÕADN et la nature du message codŽ.

Comparaison de la matire inerte et de la matire vivante (animale, vŽgŽtale) : mesure de la masse fra”che, sche (dŽshydratation ˆ l'Žtuve), masse aprs minŽralisation (possibilitŽ dÕexprimer les rŽsultats graphiquement avec Excel)

 

ƒtude comparative de quelques molŽcules composant les masses ainsi pesŽes ou dŽduites, ˆ l'aide du logiciel Rastop (silicates, glucides lipides protides, eau, CO2...). CatŽgorisation d'Žchantillons de molŽcules.

 

 

 PossibilitŽ de produire des documents numŽriques composites associant rŽsultats graphiques prŽcŽdents et captures d'images des modles molŽculaires.

 

Mise en Žvidence des diffŽrentes sortes de molŽcules dans des cellules ˆ l'aide de rŽactifs spŽcifiques.

 

Le mŽtabolisme contr™lŽ par lÕenvironnement : cultures dÕeuglnes dans deux conditions (lumire / obscuritŽ) et expŽrience EXAO montrant des mŽtabolismes diffŽrents (autotrophie / hŽtŽrotrophie).

 

Le mŽtabolisme contr™lŽ par le patrimoine gŽnŽtique et lÕenvironnement : culture de levures ADE+/- ; mise en Žvidence des deux phŽnotypes, influence de lÕenvironnement puis comparaison de la sŽquence des allles dans Anagne.

 

DiversitŽ et unitŽ au niveau cellulaire : rŽalisation de prŽparations microscopiques, observation de cellules variŽes

(Žventuellement les cellules des organismes pesŽs dans activitŽ prŽcŽdente, cf. supra), vidŽo microscopie, traitement dÕimages, dŽtourages pour identifier des caractres communs (compartimentation) et des spŽcificitŽs.

 

ParentŽ des tres vivants dŽduite de lÕultra structure des cellules : exploitation des photos numŽriques obtenues prŽcŽdemment. Utilisation dÕun logiciel de gestion de carte conceptuelle (Vue) pour esquisser une classification en groupes embo”tŽs.

Mise en perspective possible avec un arbre construit avec le logiciel Phylogne.

 

UniversalitŽ de lÕADN : utilisation de Rastop pour identifier les caractres variants ; mise en Žvidence de la constance de la  structure secondaire et de la variabilitŽ de la sŽquence (structure primaire) ; comparaison de lÕADN extrait de diffŽrents tres vivants. Mutations : utilisation d'Anagne pour comparer deux allles d'un mme gne, dont un mutŽ.

UniversalitŽ de lÕADN : construction dÕune maquette (modles molŽculaires) ou rŽalisation dÕune schŽmatisation (dessin vectoriel).

 

 

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

L.4.1 : Je sais interroger les bases donnŽes  documentaires ˆ ma disposition.

 

 

 

 

L.3.1 : Je sais crŽer et modifier un document numŽrique composite transportable et publiable.

L.3.3 : Je sais utiliser des outils permettant de travailler ˆ plusieurs sur un mme document (outil de suivi de modificationsÉ).


L 3.7 : Je sais publier un document numŽrique sur un espace appropriŽ.

 

L.3.1 : Je sais crŽer et modifier un document numŽrique composite transportable et publiable.
L 3.7 : Je sais publier un document numŽrique sur un espace appropriŽ
.

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

 

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.
L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).
L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

 

 

 

La biodiversitŽ, rŽsultat et Žtape de lՎvolution

La biodiversitŽ est ˆ la fois la diversitŽ des Žcosystmes, la diversitŽ des espces et la diversitŽ

gŽnŽtique au sein des espces. 

LՎtat actuel de la biodiversitŽ correspond ˆ une Žtape de lÕhistoire du monde vivant : les espces actuelles  reprŽsentent une infime partie du total des espces  ayant existŽ depuis les dŽbuts de la vie. 

La biodiversitŽ se modifie au cours du temps sous lÕeffet de nombreux facteurs, dont lÕactivitŽ humaine.

 

 

 

Au sein de la biodiversitŽ, des parentŽs existent qui  fondent les groupes dՐtres vivants. Ainsi, les vertŽbrŽs  ont une organisation commune. 

 

Les parentŽs dÕorganisation des espces dÕun groupe  suggrent quÕelles partagent toutes un anctre commun

 

La diversitŽ des allles est lÕun des aspects de la  biodiversitŽ.

La dŽrive gŽnŽtique est une modification alŽatoire de la diversitŽ des allles. Elle se produit de faon plus  marquŽe lorsque lÕeffectif de la population est faible. 

La sŽlection naturelle et la dŽrive gŽnŽtique peuvent  conduire ˆ lÕapparition de nouvelles espces.

Manipuler, extraire et organiser des informations, si  possible sur le terrain, pour : 

- repŽrer les divers aspects de la biodiversitŽ dans une  situation donnŽe

- mettre en Žvidence lÕinfluence de lÕHomme sur la sur la  biodiversitŽ.

Utiliser des outils simples de dŽtermination dÕespces

vŽgŽtales ou animales (actuelles ou fossiles) pour  mettre en Žvidence la biodiversitŽ dÕun milieu.

Prendre conscience de la responsabilitŽ humaine face ˆ

lÕenvironnement et au monde vivant

 

 

 

 

 

 

 

 

Mettre en Ļuvre un protocole de dissection pour comparer lÕorganisation de quelques vertŽbrŽs.

Manipuler, recenser, extraire et organiser des informations sur lÕorganisation de quelques vertŽbrŽs

actuels et/ou fossiles

 

Manipuler, utiliser un logiciel de modŽlisation pour comprendre la dŽrive gŽnŽtique

Extraire et organiser des informations pour relier crises

biologiques, dŽrive gŽnŽtique et Žvolution des espce

 

 

La biodiversitŽ ˆ lՎchelle locale : inventaire floristique et faunistique sur le terrain : Utilisation de bases de donnŽes naturalistes en ligne, contribution ˆ ces bases de donnŽes, Žtude de la biodiversitŽ dÕune rŽgion.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un exemple dՎvolution de la biodiversitŽ en fonction des changements climatiques : extraction et identification des pollens dÕune colonne de tourbe (comparaison ˆ deux niveaux de prŽlvement). ActivitŽ complŽmentaire : rŽalisation ˆ lÕaide dÕun  tableur de diagrammes polliniques ˆ partir de banques de donnŽes.

 

Groupes zoologiques fondŽs sur les ressemblances : rŽalisation dÕarbres phylogŽnŽtiques ou de groupes embo”tŽs avec  Phylogne (ou Vue pour les groupes embo”tŽs)

 

La dŽrive gŽnŽtique : jeux de simulation ; modles numŽriques (possibilitŽ de lien avec les mathŽmatiques si l'on veut faire Žlaborer le modle sous forme d'un programme sur calculatrice)

9;

L.4.2 : Je sais utiliser les fonctions avancŽes des outils de recherche sur internet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

 

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.
L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).
L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

 

 

 

 







 


Thčme 2 Enjeux planŽtaires contemporains : Žnergie, sol

LÕHomme a besoin de matire et dՎnergie. La croissance dŽmographique place lÕhumanitŽ face ˆ un enjeu majeur : trouver et exploiter des ressources (Žnergie, sol) tout en gŽrant le patrimoine naturel.

 

Le soleil : une source dՎnergie essentielle

La lumire solaire permet, dans les parties chlorophylliennes des vŽgŽtaux, la synthse de matire organique ˆ partir d'eau, de sels minŽraux et de dioxyde de carbone. Ce processus permet, ˆ lՎchelle de la plante, lÕentrŽe de matire minŽrale et dՎnergie dans la biosphre.

 

 

La prŽsence de restes organiques dans les combustibles fossiles montre quÕils sont issus dÕune biomasse. Dans des environnements de haute productivitŽ, une faible proportion de la matire organique Žchappe ˆ lÕaction des dŽcomposeurs puis se transforme en combustible fossile au cours de son enfouissement.

La rŽpartition des gisements de combustibles fossiles montre que transformation et conservation de la matire organique se dŽroulent dans des circonstances gŽologiques bien particulires.

La connaissance de ces mŽcanismes permet de dŽcouvrir les gisements et de les exploiter par des mŽthodes adaptŽes. Cette exploitation a des implications Žconomiques et environnementales.

 

LÕutilisation de combustible fossile restitue rapidement ˆ lÕatmosphre du dioxyde de carbone prŽlevŽ lentement et piŽgŽ depuis longtemps. Bržler un combustible fossile, cÕest en rŽalitŽ utiliser une Žnergie solaire du passŽ. LÕaugmentation rapide, dÕorigine humaine de la concentration du dioxyde de carbone dans lÕatmosphre interfre avec le cycle naturel du carbone.

 

LՎnergie solaire est inŽgalement reue ˆ la surface de la plante. La photosynthse en utilise moins de 1%. Le reste chauffe lÕair (par lÕintermŽdiaire du sol) et lÕeau (ce qui est ˆ lÕorigine des vents et courants) et Žvapore lÕeau (ce qui permet le cycle de lÕeau).

Utiliser lՎnergie des vents, des courants marins, des barrages hydroŽlectriques, revient ˆ utiliser indirectement de lՎnergie solaire. Ces ressources ŽnergŽtiques sont rapidement renouvelables.

La comparaison de lՎnergie reue par la plante et des besoins humains en Žnergie permet de discuter de la place actuelle ou future de ces diffŽrentes formes dՎnergie dÕorigine solaire.

ƒtablir, ˆ lÕaide dÕarguments expŽrimentaux, les grands ŽlŽments de bilan de la photosynthse.

Recenser, extraire et organiser des informations pour prendre conscience de lÕimportance planŽtaire de la photosynthse.

 

 

 

RepŽrer dans la composition et les conditions de gisement les indices dÕune origine biologique dÕun exemple de combustible fossile.

Manipuler, modŽliser, extraire et exploiter des informations, si possible sur le terrain et/ou modŽliser pour comprendre les caractŽristiques dÕun gisement de combustible fossile (structure, formation, dŽcouverte, exploitation).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Manipuler, modŽliser, extraire et exploiter des informations pour repŽrer dans une archive gŽologique simple les indices dÕune variation dÕorigine humaine de la teneur en dioxyde de carbone atmosphŽrique.

ReprŽsenter un cycle du carbone simplifiŽ mais quantifiŽ pour comprendre en quoi lÕutilisation des combustibles fossiles constitue un enjeu planŽtaire.

ExpŽrimenter, modŽliser, extraire et exploiter des informations (documents mŽtŽorologiques et/ou images satellitales et/ou documents ocŽanographiques, etc.) et les mettre en relation pour comprendre lÕeffet de lՎnergie solaire sur un exemple de circulation (atmosphŽrique ou hydrosphŽrique).

Construire une argumentation (de nature manipulatoire et/ou documentaire) pour montrer lÕinŽgale rŽpartition de la quantitŽ dՎnergie solaire reue selon la latitude, et ses consŽquences.

La production de matire organique (amidon) : mise en Žvidence de production de matire organique au niveau de feuilles (expŽriences sur le PŽlargonium, feuilles vertes ou feuilles panachŽes) en prŽsence ou absence de lumire/ sous atmosphre riche ou dŽpourvue en CO2.

Observation microscopique de cellules chlorophylliennes (tŽmoin et cellules exposŽes ˆ la lumire puis colorŽes au lugol). Mise en Žvidence de diffŽrents types de rŽserve (glucidique, lipidique...) dans les organes de rŽserve des vŽgŽtaux. Mise en Žvidence de composŽs organiques (cellulose, lignine...) dans les tissus vŽgŽtaux (observation de coupes de tiges).

RŽalisation dÕun protocole expŽrimental et de mesures de la croissance dÕune culture dÕalgues chlorophylliennes dans diffŽrentes conditions du milieu par densitŽ optique ˆ lÕaide dÕune sonde spectrophotomŽtrique (EXAO) ou par comptage au microscope avec traitement des mesures par tableur informatique.

 

 

 

CaractŽristiques d'un gisement de biomasse fossiles (charbon, lignite, pŽtrole, tourbe...) : sortie sur le terrain ; visite de musŽe dÕanciennes mines de charbon. Identification de failles normales. Mesure du rejet ˆ lÕaide de la croix du bucheron. Observation des diffŽrents ŽlŽments dÕun cyclothme dÕun bassin paralique ou limnique : grs Š charbon Š schistes et des empreintes ou fossiles. Analyse de cartes gŽologiques avec bassins houillers et modŽlisation analogique de la subsidence en distension par des failles normales. L'origine biologique des combustibles fossiles : identification de restes organiques fossiles ˆ partir de lÕobservation macroscopique et microscopique dans des Žchantillons de lignite et/ou de charbon.

 

Comparaison d'une flore tropicale actuelle avec celles du crŽtacŽ supŽrieur et du carbonifre (empreintes ou restes de vŽgŽtaux du lignite et du charbon). Reconstitution des palŽoenvironnement ayant prŽsidŽ ˆ la gense des gisements de combustibles fossiles ; principe dÕactualisme. [Lien avec la partie Ē la biodiversitŽ, rŽsultat et Žtape de lՎvolution Č].

 

DŽcouverte de la conservation et de la transformation de la matire organique (kŽrogne) en fonction de la profondeur : rŽalisation et/ou observation de carottes de tourbe ou de boues sapropŽliques dans une vasire ou un marŽcage. SŽparation des constituants d'un Žchantillon de pŽtrole, dÕun Žchantillon de liquide de Ē suintement Č de schistes bitumineux, par chromatographie d'adsorption

Mesures de porositŽ de diffŽrentes roches sŽdimentaires afin de dŽterminer la nature pŽtrographique des roches susceptibles de constituer des rŽservoirs ˆ hydrocarbures.

ModŽlisation analogique de la dŽtection des roches rŽservoirs ˆ hydrocarbures par les variations de vitesse de propagation des ondes acoustiques enregistrŽes et mesurŽes ˆ lÕaide dÕun dispositif EXAO (capteurs piŽzomŽtriques-logiciel Audacity).

 

Conditions nŽcessaire ˆ la fabrication d'hydrocarbures : expŽrience de fermentation lente (une semaine minimum). DŽbris vŽgŽtaux sous une couche argile + eau production gaz et hydrocarbures (irisation en surface de l'eau).

 

ModŽlisation de piges ˆ pŽtrole dans une cuve transparente, avec pŽtrole ˆ lampe colorŽ au bleu de mŽthylne, sable (roche rŽservoir), argile ou p‰te ˆ modeler (roche couverture).

Exploitation de donnŽes de Systmes d'information gŽographique (SIG) permettant de comparer une carte de rŽpartition des gisements de pŽtrole avec une carte des formations sŽdimentaires.

LibŽration de CO2 par utilisation des combustibles fossiles : combustion de fusain dans air ou O2 et identification du gaz libŽrŽ.

L'augmentation rŽcente du CO2 : exploitation de banques de donnŽes (analyse gaz dans des carottes de glace) et rŽalisation d'un graphique ˆ l'aide d'un tableur traduisant l'Žvolution de la teneur atmosphŽrique en CO2. Travail possible en ateliers avec sources diffŽrentes pour mettre en Žvidence le caractre global de cette Žvolution.

Transformation de diffŽrents sucres en alcool par fermentation alcoolique. Mise en Žvidence dÕune fermentation alcoolique ˆ partir de sucres fermentescibles comme le glucose (Saccharomyces) ou non fermentescible comme lÕamidon (Schwanniomyces) ou encore la cellulose.

RŽalisation Žventuelle des mesures ˆ lÕaide dÕun dispositif EXAO, traitement ˆ lÕaide dÕun tableur informatique.

CapacitŽ calorifique : mesures des capacitŽs calorifiques de biomasse (dans diffŽrents Žtats dՎvolution ou de transformation).

L'inŽgale rŽpartition de l'Žnergie solaire : modŽlisations avec globe terrestre et faisceau lumineux. Estimation de la quantitŽ d'Žnergie reue par unitŽ de surface, variant selon la latitude. Analyse de lՎnergie reue en surface terrestre sur une maquette analogique avec EXAO.

L'origine solaire du mouvement des enveloppes fluides : modŽlisations analogiques des courants de convection entre deux masses (d'air ou d'eau) de tempŽratures diffŽrentes.

La circulation gŽnŽrale des masses d'air : analyse dÕimages satellitaires dans diffŽrentes longueurs dÕonde de faon ˆ identifier les contrastes thermiques, les mouvements de masse dÕair et construire un modle global de circulation atmosphŽrique. ActivitŽ complŽmentaire possible en intŽgrant les circulations ocŽaniques.

Couplage courants ocŽaniques / atmosphŽriques : dŽterminer la direction et le sens d'un courant marin superficiel par lÕexploitation de donnŽes GPS (bouŽes dŽrivantes). Analyse dÕune image satellitaire montrant un upwelling dynamique (effet du mistral sur les eaux de surface par exemple). Traitement possible par tableur. Confrontation avec direction et sens du vent (exploitation possible d'animations satellitales).

 

 

 

 

 

 

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

 

 

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

 

Le sol : un patrimoine durable ?

Pour satisfaire les besoins alimentaires de lÕhumanitŽ, lÕHomme utilise ˆ son profit la photosynthse. LÕagriculture a besoin pour cela de sols cultivables et dÕeau : deux ressources trs inŽgalement rŽparties ˆ la surface de la plante, fragiles et disponibles en quantitŽs limitŽes. Elle entre en concurrence avec la biodiversitŽ naturelle.

La biomasse vŽgŽtale produite par lÕagriculture est une source de nourriture mais aussi une source de combustibles ou dÕagrocarburants. Ces deux productions entrent en concurrence.

 

 

 

 

Un sol rŽsulte dÕune longue interaction entre les roches et la biosphre, conditionnŽe par la prŽsence dÕeau et la tempŽrature. Le sol est lent ˆ se former, inŽgalement rŽparti ˆ la surface de la plante, facilement dŽgradŽ et souvent dŽtournŽ de sa fonction biologique. Sa gestion est un enjeu majeur pour lÕhumanitŽ.

 

 

ModŽliser, recenser, extraire et organiser des informations de faon ˆ - comparer la part de production de biomasse utilisŽe par lÕhomme et le total de cette production ; - Žtablir lÕinŽgale rŽpartition de ces deux ressources. Comprendre la responsabilitŽ humaine en matire dÕenvironnement.

Comprendre les ŽlŽments dÕun dŽbat. Manifester un intŽrt pour la vie publique et les grands enjeux de la sociŽtŽ ˆ lՎchelle planŽtaire.

ModŽliser, recenser, extraire et organiser des informations afin de comprendre comment lÕhomme intervient sur les flux naturels de biomasse et les dŽtourne partiellement ˆ son profit.

 

Manipuler, recenser, extraire et organiser des informations, si possible sur le terrain, pour : - comprendre la formation dÕun exemple de sol ; - relier vŽgŽtation, climat, nature de la roche mre et nature dÕun exemple de sol.

Comprendre la responsabilitŽ humaine en matire dÕenvironnement.

Utilisation dÕun systme d'information gŽographique (SIG) pour confronter des donnŽes sur la rŽpartition des sols cultivables et de l'eau.

La biomasse vŽgŽtale, une source de nourriture et source dÕagrocarburants : Žtudes de cas (agrocarburants au BrŽsil, les agroŽcosystmes). Utilisation du site www.education-developpement-durable.fr (ressources ˆ sŽlectionner).

Les constituants d'un sol, fraction minŽrale et organique : mise en Žvidence par dŽshydratation, combustion et pesŽes des composantes minŽrales et organiques d'un sol.

Relation entre roche mre et fraction minŽrale du sol (1) : ˆ partir d'une Žtude locale puis d'observations, comparer la nature de la fraction dŽtritique minŽrale (par exemple, grains de quartz) d'un sol avec la composition minŽralogique de la roche mre (grs, granite, calcaire...). En dŽduire des hypothses sur la formation d'un sol.

Relation entre roche mre et fraction minŽrale du sol (2) : ˆ partir d'une Žtude locale, identifier les principaux ions prŽsents dans un sol. Confronter les rŽsultats ˆ l'Žtude de la composition minŽralogique de la roche mre. En dŽduire des hypothses sur les rŽactions d'altŽration de la roche mre (hydrolyses). PossibilitŽ de comparer les rŽsultats de l'analyse d'Žchantillons d'origine diffŽrente.

ExpŽriences analogiques de l'action de l'eau chargŽe ou dŽpourvue en CO2 sur les carbonates. Relation ˆ Žtablir avec des observations locales (Žrosion de paysages calcaires, argiles de dŽcalcification...)

Importance de la microflore et de la microfaune d'un sol [lien avec la partie Ē la biodiversitŽ, rŽsultat et Žtape de lՎvolution Č] : Žtude et dŽtermination de la microfaune avec lÕappareil de Berlse ; expŽriences mettant en Žvidence la dŽgradation de la matire organique sous l'action des bactŽries du sol (comparaison des rŽsultats avec sol stŽrilisŽ). L'eau dans le sol : mesure de la porositŽ et de la permŽabilitŽ de diffŽrents sols (sables) ; potentiel hydrique dÕun sol (comparaison dÕun sol argileux et dÕun sol sableux par exemple). PropriŽtŽs d'un sol cultivable : aŽration, capacitŽ de rŽtention, complexes argilo-humiques.

L.4.1 : Je sais interroger les bases documentaires ˆ ma disposition.

 

 

 

 

 


Thme 3 Š Corps humain et santŽ : lÕexercice physique

La connaissance du corps et de son fonctionnement est indispensable pour pratiquer un exercice physique dans des conditions compatibles avec la santŽ. Cela passe par la comprŽhension des effets physiologiques de lÕeffort et de ses mŽcanismes dont on Žtudie ici un petit nombre dÕaspects.

 

Des modifications physiologiques ˆ lÕeffort

Au cours dÕun exercice long et/ou peu intense, lՎnergie est fournie par la respiration, qui utilise le dioxygne et les nutriments. LÕeffort physique augmente la consommation de dioxygne : plus lÕeffort est intense, plus la consommation de dioxygne augmente ; - il y a une limite ˆ la consommation de dioxygne.

La consommation de nutriments dŽpend aussi de lÕeffort fourni. LÕexercice physique est un des facteurs qui aident ˆ lutter contre lÕobŽsitŽ.

 

 

 

Au cours de lÕeffort un certain nombre de paramtres physiologiques sont modifiŽs : frŽquence cardiaque, volume dՎjection systolique (et donc dŽbit cardiaque) ; frŽquence ventilatoire et volume courant (et donc dŽbit ventilatoire) ; pression artŽrielle.

Ces modifications physiologiques permettent un meilleur approvisionnement des muscles en dioxygne et en nutriments. LÕorganisation anatomique facilite cet apport privilŽgiŽ. Un bon Žtat cardiovasculaire et ventilatoire est indispensable ˆ la pratique dÕun exercice physique.

Concevoir et/ou mettre en Ļuvre un protocole expŽrimental (ExAO, spiromŽtrie, brassard, ...) pour mettre en Žvidence un ou plusieurs aspects du mŽtabolisme ŽnergŽtique ˆ lÕeffort (consommation de dioxygne, production de chaleur,...).

Exploiter des donnŽes quantitatives (Žventuellement ˆ lÕaide dÕun tableur) concernant les modifications de la consommation de dioxygne et/ou de nutriments ˆ lÕeffort.

 

 

 

Concevoir et/ou mettre en Ļuvre un protocole expŽrimental (en particulier assistŽ par ordinateur) pour montrer les variations des paramtres physiologiques ˆ lÕeffort.

Manipuler, modŽliser, recenser, extraire et organiser des informations et ou manipuler (dissections et/ou logiciels de simulation et/ou recherche documentaire) pour comprendre lÕorganisation et le fonctionnement des systmes cardiovasculaire et ventilatoire.

Quantifier lÕeffort et en Žvaluer le cožt ŽnergŽtique : - estimation du travail rŽalisŽ et de la puissance dŽveloppŽe lors de lÕeffort (flexions, dŽplacement dÕhaltres...) ; - estimation du rendement ŽnergŽtique ˆ partir de lÕexcs de VO2 consommŽ (EXAO) ; - relation entre lÕaugmentation de la consommation de dioxygne lors dÕun effort et une dŽpense ŽnergŽtique supplŽmentaire (utilisation du coefficient thermique de lÕoxygne) - comparaison, ˆ lÕaide dÕun tableur, de la dŽpense ŽnergŽtique supplŽmentaire occasionnŽe par une activitŽ physique et lÕapport ŽnergŽtique de certains aliments ou certaines boissons.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au court de lÕeffort, un certain nombre de paramtres physiologiques sont modifiŽs : - mise en relation de lÕeffort, des Žchanges respiratoires et de la frŽquence cardiaque : EXAO suivi de la consommation de O2, volume courant, et frŽquence cardiaque dans des situations variŽes (efforts dÕintensitŽ variable, repos). [lien avec lÕEPS]

 

Observer le rŽel (cĻur, cĻur/poumon, coupes de vaisseaux sanguins).

Dissection du cĻur complŽtŽe dÕexpŽriences dÕinjections

Modles anatomiques et maquette de circulation (en sŽrie et en parallle)

Exploitation de logiciels de simulation physiologique - simulation du fonctionnement du cĻur humain et de la circulation sanguine : logiciel CĻur (P. Perez) :

 

 

 

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

 

 

Une boucle de rŽgulation nerveuse

La pression artŽrielle est une grandeur contr™lŽe par plusieurs paramtres. Par exemple, il existe une boucle rŽflexe de contr™le de la frŽquence cardiaque (dont la pression artŽrielle dŽpend par lÕintermŽdiaire du dŽbit) : - des capteurs (barorŽcepteurs) sont sensibles ˆ la valeur de la pression artŽrielle ; un centre bulbaire intgre les informations issues des barorŽcepteurs et module les messages nerveux en direction de lÕeffecteur (cĻur) ; les informations sont transmises du centre ˆ lÕeffecteur par des nerfs sympathiques et parasympathiques. La boucle de rŽgulation contribue ˆ maintenir la pression artŽrielle dans d'Žtroites limites autour d'une certaine valeur. A lÕeffort, lÕorganisme sՎcarte de cette situation standard.

Recenser, extraire et exploiter des documents historiques relatifs ˆ des travaux expŽrimentaux pour construire et/ou argumenter la boucle de rŽgulation nerveuse ŽvoquŽe.

ƒlaborer un schŽma fonctionnel pour reprŽsenter une boucle de rŽgulation.

R™le du systme nerveux dans le contr™le de la frŽquence cardiaque : automatisme cardiaque chez lÕembryon de poule ; comparaison de la frŽquence ˆ des stades embryonnaire diffŽrents : troisime et sixime jour dÕincubation (avant et aprs maturation du systme nerveux). Traitement mathŽmatiques des mesures avec tableur.

Mise en Žvidence d'une voie nerveuse : dissection visant ˆ mettre en Žvidence le nerf pneumogastrique chez la souris

Contr™le nerveux de la frŽquence cardiaque : exploitation de logiciels de simulations (sections, stimulations). RŽalisation par Žtapes d'un schŽma numŽrique fonctionnel.

 

Exploitation de logiciels de simulation physiologique. - CŽdŽrom La Pression artŽrielle, CNED  - Animation Ē la rŽgulation du fonctionnement cardiaque Č : simulation de la rŽgulation du rythme cardiaque , simulation de la rŽgulation de la pression artŽrielle

 

 

L.2.4 : Je valide, ˆ partir de critres dŽfinis, les rŽsultats qu'un traitement automatique  me fournit (calcul, reprŽsentation graphique, correcteur...).

 

L.1.2 : Je sais structurer mon environnement de travail.

 

 

Pratiquer une activitŽ physique en prŽservant sa sante

Le muscle striŽ squelettique et les articulations constituent un systme fragile qui doit tre protŽgŽ. Les accidents musculo-articulaires sÕexpliquent par une dŽtŽrioration du tissu musculaire, des tendons, ou de la structure articulaire. Au cours de la contraction musculaire, la force exercŽe tire sur les tendons et fait jouer une articulation, ce qui conduit ˆ un mouvement.

 

 

 

 

 

Des pratiques inadaptŽes ou dangereuses (exercice trop intense, dopage...) augmentent la fragilitŽ du systme musculo-articulaire et/ou provoquent des accidents.

Recenser, extraire et interprŽter des informations tirŽes de compte rendus dÕaccidents musculo-articulaires (imageries mŽdicales).

Manipuler, modŽliser, recenser, extraire et organiser des informations et/ou manipuler (dissections, maquettes, etc.) pour comprendre le fonctionnement du systme musculo-articulaire.

Relier les caractŽristiques de lÕorganisation du muscle aux manifestations dÕun accident musculo-articulaire.

 

Extraire et exploiter des informations pour : - comprendre la diffŽrence entre lÕusage thŽrapeutique dÕune molŽcule et lÕusage dŽtournŽ qui peut en tre fait ; - comprendre lÕeffet sur la santŽ des sportifs dÕune pratique de dopage ; - dŽterminer comment se livrer ˆ un exercice physique dans de bonnes conditions de santŽ. Exercer sa responsabilitŽ en matire de santŽ.

Relation structure fonction au niveau du muscle et des articulations : Observation de lÕarticulation de patte de bĻuf ou de mouton.

Dissection de cuisse de grenouille ou de lapin (os, muscles, tendons, ligaments). DilacŽrations de muscles. Observations microscopiques de fibres musculaires. Observation microscopique de la contraction de fibres musculaires chez le Crabe.

Concevoir ou utiliser un modle analogique traduisant lÕeffet de la contraction du muscle sur les segments osseux.

DŽtourages et schŽmatisations numŽriques ˆ partir de photos numŽriques ou radiographies numŽrisŽes

Les anabolisants stŽro•diens : utilisation des fichiers molŽculaires des molŽcules dopantes (THG, par exemple), de molŽcules biologiques (hormones sexuelles), des rŽcepteurs hormonaux associŽs, pour comprendre le mode dÕaction des dopants.

Observations microscopiques de la contraction de fibres musculaires de criquet (+ CaCl2).

 

 

 

 

 

 

 

L.3.1 : Je sais crŽer et modifier un document numŽrique composite transportable et publiable.
L 3.7 : Je sais publier un document numŽrique sur un espace appropriŽ.